ONCE UPON A TIME

Les monstres sont réels. Les fantômes aussi. Ils vivent en nous. Et parfois… ils gagnent.

mercredi 13 novembre 2013


Trode pensées qui s'entrechoquent dans ma tête, cela edevient assourdissant, surtout quancelles-ci
côtoient un silence quhurle sans cesse.
Les ruines de mon cœur sdressent comme un Colisée et c'esavec amertume quje tire le portrait de nombreux hommes , comme des œuvres abstraites recouvrant mon mue moderne. 

J'anorexie de la vie en fumant les miettes de tesourires.
Une traînée de poussière ruisselle à nouveau sur mocœur un peu trop éméché .
Il y a t-il un sens à cette vie rétitive Regarder le temps qui s'enfuit en pensant au trip danlequel je suis.
Etre tout le temps seule me donne froid et me déprime.
Collé dans les profondeurs de mes pupilles,il y a un océan de souvenirs. J'ai fait face au mur et à la guerre et j'ai fait à ma manière. Mais en quoi cela m'a fait avancer? L'espoir se moque de moi, joue le jeu, danse pour moi, un temps. Un moment. Avant de sombrer de nouveau dans le néant. Est-ce que je n'atteindrai jamais le souhait dans lequel je me suis noyé ?






Tu me manques, c’est dingue, c’est tragique, ça pue la merde, l’insécurité, le manque maladif, la maladie, ouais, ça pue le tabac, la drogue, toutes ces conneries qui me détruisent, mais qui ne me détruiront jamais autant que toi, c’est fatidique, c’est horrible, c’est terrifiant le manque d’affection, tu m’as sorti du vide pour me foutre dans le néant.

Je ne peux pas tomber amoureux de toi, petite conne. T’es aussi fragile qu’un verre en porcelaine. Mais je te désire comme personne, alors laisse-moi poser mes lèvres une seule fois sur les rebords de ta fragilité extrême. Qu’une seule fois, et je m’en irai par peur de te briser.